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Ivanka Trump se prépare à promouvoir le programme de développement économique de ses femmes lors d’un prochain voyage au Maroc.

C’est sa troisième visite à l’étranger cette année pour promouvoir l’Initiative de développement mondial et de prospérité pour les femmes, lancée en février à l’intention des femmes des pays en développement.

La fille et le conseiller principal du président Donald Trump se rendront dans ce pays d’Afrique du Nord début novembre, a annoncé la Maison Blanche.

Dans une déclaration à l’Associated Press, Ivanka Trump a déclaré que le royaume du Maroc est un allié précieux des États-Unis qui a « progressé » sous le Roi Mohammed VI pour promouvoir l’égalité des sexes.

En août, elle a tweeté son soutien au gouvernement marocain après le début du processus de modification de ses lois sur la succession, selon lesquelles les femmes devraient recevoir la moitié moins que les hommes.

Ivanka Trump voyagera avec Sean Cairncross, PDG de Millennium Challenge Corp., agence américaine indépendante d’aide étrangère qui octroie des subventions aux pays en développement pour favoriser la croissance économique, réduire la pauvreté et renforcer les institutions.

Ils rencontreront des responsables gouvernementaux et des dirigeants locaux à Rabat, la capitale du Maroc, et à Casablanca du 6 au 8 novembre pour discuter de la façon d’aider les femmes de la région à acquérir une indépendance économique.

L’Initiative de développement mondial et de prospérité pour les femmes a pour objectif d’aider 50 millions de femmes de pays en développement à progresser sur le plan économique au cours des six prochaines années.

C’est un effort du gouvernement américain qui implique le département d’État, le Conseil de sécurité nationale et d’autres agences. Il vise à coordonner les programmes existants et à en développer de nouveaux pour aider les femmes dans des domaines tels que la formation professionnelle, le soutien financier et les réformes juridiques ou réglementaires.

Ivanka Trump s’est rendue en septembre en Éthiopie et en Côte d’Ivoire, en Afrique subsaharienne, et en septembre en Argentine, en Colombie et au Paraguay, en Amérique du Sud, pour promouvoir cette initiative.

Organisée par la Direction régionale de la culture et de la communication (secteur de la culture) et la Conservation régionale du patrimoine culturel de la région Marrakech-Safi, cette manifestation comporte plusieurs activités qualitatives traduisant la diversité du patrimoine culturel de la région. Ainsi, une exposition sous le thème « modèles de gravures arabes à Marrakech » a été inaugurée au mythique Palais Badii, qui abrite aussi une exposition d’œuvres plastiques des artistes Ahmed Amine Cherradi et Rabia Mezouga sous le thème « les figures du patrimoine du Maroc dans les arts plastiques ». Tout au long du mois, les élèves des établissements scolaires bénéficieront de portes ouvertes pour la visite de sites historiques, dont le Palais Badii, les tombes de Saadiyine, le musée Mouassine, Dar Chérifa, Palais Bahia, Menara et Dar Bellarj pour consacrer les valeurs de prise de conscience de la valeur du patrimoine historique marocain auprès des générations montantes. Le directeur régional de la culture et de la communication –secteur de la culture- à Marrakech-Safi, Aziz Boujmid, a souligné à cette occasion, que le mois du patrimoine représente un important rendez-vous scientifique et culturel pour mettre en relief la richesse et la diversité du patrimoine marocain matériel et immatériel, relevant que la région est dotée d’un grand patrimoine historique et civilisationnel de nature à lui permettre de devenir un pôle au rayonnement culturel susceptible d’instaurer les bases d’une industrie culturelle et patrimoniale qualitative. La Conservatrice régionale du patrimoine culturel de Marrakech-Safi, Mme Hasna Haddaoui, a indiqué pour sa part, que l’économie culturelle représente une alternative efficiente de développement capable de dynamiser l’économie de la région, sachant que cette dernière regorge de potentialités devant lui permettre de jouer un rôle vital dans ce domaine. Cette manifestation s’inscrit dans le cadre du mois du patrimoine que le ministère de la culture et de la communication -Département de la culture- organise chaque année du 18 avril, coïncidant avec la Journée internationale des monuments et des sites, au 18 mai coïncidant avec la Journée internationale des musées, dans le but de valoriser le patrimoine civilisationnel marocain et la diversité de ses affluents culturels. Pour en savoir plus, je vous recommande la lecture du site sur ce séminaire qui est très bien élaboré sur ce thème.

La ville marocaine de Marrakech figure dans la liste des 20 villes à visiter absolument par le quotidien Le Monde cette année. Marrakech a également été sélectionnée dans le cadre des 52 destinations mondiales à ne pas manquer en 2019. Fondant sa décision sur trois critères fondamentaux, culture, prix et climat, le classement du Maroc a été établi par les agences de voyages participantes et les voyagistes français, a déclaré le journal. Marrakech a été choisie en raison de plusieurs facteurs, dont la sécurité, des hôtels remarquables et un aéroport ultramoderne qui a été rénové et doté d’un nouveau terminal à la veille de la Conférence des Nations Unies sur les changements climatiques (COP22). tenue dans la ville en novembre dernier. « Le Maroc, qui a été méprisé à cause de l’instabilité dans toute la région, revient en force », a expliqué le directeur de Kayak.fr, John-Lee Saez. Oman occupe la première place dans le classement du Monde pour son charme, son patrimoine et ses paysages naturels bien entretenus et a été félicité par le quotidien « Destination authentique. » Le New York Times a classé Marrakech parmi les 52 destinations internationales à ne pas manquer en 2019, avec le Jardin Majorelle à l’honneur.

Comme les plongeurs, les dauphins courent le risque de maladie de décompression, plus communément appelée «les coudes». Lorsque vous plongez à l’air comprimé, l’azote se diffuse dans le sang. Il est essentiel de remonter lentement pour que le gaz puisse se dissoudre naturellement. Si vous faites surface trop rapidement, la chute soudaine de pression entraîne la formation de bulles d’azote dans le sang, ce qui peut provoquer des douleurs articulaires, des vertiges, des difficultés à marcher ou dans les cas extrêmes, un coma ou la mort. Des études antérieures ont montré que c’est la structure pulmonaire unique du dauphin qui le protège de la maladie. Ces créatures marines intelligentes ont des poumons pliants; Lorsque soumis à une pression immense, comme une plongée de 1 000 mètres, un compartiment pulmonaire s’effondre et l’autre reste ouvert pour permettre l’échange de gaz. La théorie de Fahlman est que les dauphins peuvent rediriger le flux sanguin vers le compartiment effondré, ce qui limiterait l’accumulation de bulles d’azote. «Nous suggérons qu’ils utilisent des méthodes complètement différentes de gestion des gaz, ne se contentant pas de compter sur effondrement des poumons comme suggéré précédemment », dit Fahlman. « Contrairement aux mammifères terrestres, ils peuvent envoyer du sang dans des régions des poumons qui n’échangent pas de gaz. » Les chercheurs n’ont pas compris pourquoi les dauphins du large se lancent dans des voyages aussi profonds en haute mer, mais Fahlman affirme que cela pourrait être dû aux changements dans les endroits où les proies peuvent être trouvées en raison du réchauffement de la planète. Au fond, au moins les dauphins ont encore accès à des repas qui se cachent loin sous la surface, comme des calmars. Cependant, selon Fahlman, ce pouvoir de plonger pourrait donner aux dauphins le meilleur parti face au changement climatique – contrairement à d’autres animaux marins en voie d’extinction dont les environnements continuent de disparaître. «Un dauphin peut faire beaucoup pour survivre», dit-il. «Peu importe les dommages que nous causons à l’environnement, ils peuvent adapter beaucoup de choses qu’ils font tout en survivant.» Plus d’information sur ce de nage avec les dauphins en Méditerranée en surfant sur le site internet de l’organisateur.

Au Maroc, le chef du gouvernement, Saad Eddine el Othmani s’est rendu dans la région de l’Oriental, dans le nord-est du pays, samedi 11 février, pour annoncer une batterie de mesures en faveur de Jerada. La ville est secouée depuis plus d’un mois par un mouvement de contestation déclenché par la mort de deux mineurs clandestins. Les manifestations ont repris après un nouvel accident mortel dans un puits de charbon, la semaine dernière. Ancien bassin minier, Jerada n’a pas opéré sa reconversion économique, depuis la fermeture de la grande mine, il y a 20 ans, mais l’activité clandestine s’est poursuivie. Sur place, les annonces du chef du gouvernement ont reçu un accueil mitigé. Ouverture de mines conventionnelles de plomb et de zinc, reconversion de la zone en région agricole, facilitation de l’accès à la propriété pour les anciens ouvriers et surtout la suspension des permis de commercialisation du charbon… plusieurs mesures ont été annoncées par le Premier ministre marocain. Autre source d’inquiétude, selon les militants, aucune annonce n’a été faite autour de l’une de leurs principales revendications, à savoir le lancement d’une enquête pour juger les responsables de la situation économique désastreuse de la ville. Ce sont eux qui doivent rendre des comptes, nous dit-on. Le porte-parole du gouvernement de Saâdeddine El Othmani, Mustafa El Khalfi, a annoncé, jeudi 28 décembre, que le gouvernement est préoccupé par ce qu’il se passe et essaie d’accélérer le travail sur plusieurs projets en court pour Jerada. Mais ces déclarations ne semblent pas capables de convaincre les manifestants de la ville qui continuent à protester, ce vendredi 29 décembre, pour le huitième jour consécutif, contre les conditions de vie dans leur ville. La visite des responsables gouvernementaux à Jerada, cette semaine, n’a pas, non plus, réussi à arrêter les manifestations des milliers d’habitants de la ville, en majorité des jeunes. Ils portent le drapeau marocain, et parfois le portrait du roi, brandissent toujours les mêmes slogans : ils réclament du travail, de la dignité et ils dénoncent la marginalisation.

L’interdiction de transporter en cabine des ordinateurs portables et autres appareils électroniques sur les vols directs entre le Maroc et les Etats-Unis sera levée jeudi, annonce mercredi la compagnie Royal Air Maroc dans un communiqué. RAM est la seule compagnie marocaine à assurer des vols directs vers les Etats-Unis, entre l’aéroport Mohamed-VI de Casablanca et New York et Washington D.C.. Les Etats-Unis ont interdit le 25 mars dernier les ordinateurs portables et tablettes en cabine sur les vols en provenance de dix aéroports dans huit pays – Egypte, Maroc, Jordanie, Emirats arabes unis, Arabie saoudite, Koweït, Qatar et Turquie -, redoutant que ces appareils soient utilisés pour dissimuler des explosifs. RAM ne précise pas pourquoi les restrictions ont été levées mais le département américain de la Sécurité intérieure a déjà supprimé les restrictions frappant six autres compagnies aériennes après l’adoption par ces dernières de nouvelles mesures de sécurité, notamment pour détecter les explosifs. Mardi, le département américain a fait savoir qu’il examinait les requêtes déposées par les trois compagnies encore visées par l’interdiction, RAM, EgyptAir et Saudi Arabian Airlines. EgyptAir a dit s’attendre à voir les restrictions levées mercredi, et Saudia à ce que l’interdiction soit supprimée sur les vols en provenance de Djeddah et Ryad à partir du 19 juillet. Fin juin, les autorités américaines ont exigé de nouvelles mesures de sécurité dans d’autres aéroports pour éviter d’étendre ces restrictions à d’autres pays. Ces mesures, qui devraient entrer en vigueur vers la mi-juillet, affecteront 180 compagnies aériennes opérant dans 280 aéroports de par le monde. Source : Séminaire USA.

L’armée marocaine serait en discussions très avancées avec la Russie pour l’acquisition de sous-marins russes « Amur 1650 » à propulsion diesel-électrique et du chasseur-bombardier tactique sukhoi-34, rapporte l’agence de presse russe Tass, citée par Defense World. « Apparemment, Rabat a besoin d’armes perfectionnées pour la lutte contre les terroristes, mais les experts présument qu’une confrontation avec l’Algérie est une raison plus probable», indique Defense World. Selon une parution du mois d’août du quotidien Al Massae, citée par le360.ma, l’exportation de l’Amur 1650 est prévue pour 2020. Ce sous-marin de quatrième génération « renforcera davantage les capacités navales de la Marine royale marocaine, d’autant plus que l’insubmersible russe est capable de porter des missiles Cruz ». Pour ce qui est des Sukhoï-34, ils permettront aux Forces Royal Air (FRA) de préserver leur hégémonie aérienne à l’échelle régionale, précise Al Massae, avant de rappeler qu’ils ont déjà fait leurs preuves dans les offensives menées par l’aviation russe en Syrie. Cette coopération entre Rabat et Moscou s’inscrit dans le cadre de la nouvelle stratégie de commercialisation d’armements lourds de la Russie, qui considère d’ailleurs le royaume chérifien comme un marché prioritaire. Le Maroc serait très intéressé par l’avion de combat Joint Fighter-17 (JF-17), fruit de la coopération entre la Chine et le Pakistan. Le Royaume est décidé à renforcer son armement. En effet, selon Bladi.net, le Maroc serait très intéressé par l’avion de combat Joint Fighter-17 (JF-17), fruit de la coopération entre la Chine et le Pakistan. Cet avion doit être présenté cette semaine à Marrakech. Le site marocain indique qu’une délégation pakistanaise de haut niveau doit se rendre à Marrakech dans le cadre de la 5ème édition de l’International Marrakech Air Show qui se déroule du 27 au 30 avril prochain. L’information a été rapportée par le journal Al Massae. Le Pakistan va présenter cet avion de combat multi-rôle, mono-réacteur et le Maroc s’est dit très intéressé, affirment des sources citées par le journal qui croit savoir que le Pakistan veut faire du Maroc une plateforme de lancement pour la conquête de l’Afrique. En 2010, le royaume avait déjà montré son intérêt, lors du Salon aéronautique de Singapour mais sans pour autant donner suite. Avec cette acquisition, le Maroc pourrait espérer gagner quelques places dans le classement des nations les plus puissantes du point de vue militaires. Dans le classement 2014 de Global Firepower des puissances militaires à l’échelle africaine, l’Algérie occupait la 2ème place, derrière l’Egypte. Le Maroc n’était qu’à la 7ème place du classement africain. Source: vol en avion de chasse.

Marrakech se hisse encore dans le top des destinations « in » en 2017. Après le New York Times, qui classe la ville ocre parmi les 52 endroits à visiter cette année, c’est au tour du Monde de choisir la capitale touristique du royaume comme destination phare. Le quotidien français vient de dresser une liste de 20 destinations pour 2017. Avec le sultanat d’Oman, la Colombie, le Zimbabwe ou la Mongolie, Marrakech pourrait bien séduire les voyageurs étrangers cette année. Il faut dire que, depuis la COP22, la ville « reprend des couleurs », note le journal, qui rappelle que « l’aéroport s’est doté d’un nouveau terminal », que « les hôtels sont toujours plus nombreux » et que « le haut de gamme explose ». L’arrivée en force d’Airbnb, qui permet de se loger à moindre coût, et l’ouverture en octobre prochain du musée Yves Saint Laurent, sont également des bonnes raisons de venir à Marrakech, indique Le Monde. De manière générale, le Maroc, boudé ces dernières années à cause de l’instabilité régionale, « revient en force », selon John-Lee Saez, directeur du site de voyages Kayak.fr.

Le nouveau système tarifaire du Maroc sur le prix de l’eau se caractérise par un mode d’application à la fois sélectif et sévèrement progressif en vue de traiter la demande de pointe. En effet, chaque consommateur est amené par ce mode tarifaire à éviter de dépasser la limite supérieure de sa tranche habituelle de consommation. Le dépassement de la borne supérieure d’une tranche se traduit par un relèvement substantiel du montant de la facture d’eau. La SONEDE a élaboré plusieurs études pour mesurer la sensibilité des consommateurs aux variations des prix de l’eau. Tous les résultats obtenus mettent en évidence une sensibilité des usagers au prix de l’eau mais qui diffère d’une tranche de consommation à une autre. En effet, la réaction est particulièrement importante pour la tranche de consommation la plus élevée, où les coefficients d’élasticité avoisinent l’unité (e @ -1) pour tous les usagers gros consommateurs à l’exception de l’usage touristique où le coefficient se situe autour de e @ -0,3. Au fil des années, le résultat a été d’une part la «migration » des consommateurs des tranches élevées de tarif vers les tranches basses, et d’autres par le recours de certains usagers à une source d’approvisionnement en eau autre que celle de la SONEDE : forage, puits, citerne pluviale. Il y a quinze ans, les consommateurs de la tranche supérieure représentaient 3,3 % du total des abonnés en Tunisie tout en utilisant plus que la moitié de la consommation d’eau totale (51,6%), alors qu’en 1999 ils ne représentent plus que 1,8% du total des abonnés avec une part de consommation de 35% du total ; soit une chute de 17 points sous l’effet de la migration vers les tranches inférieures de consommation d’eau. La pose des compteurs individuels permet de quantifier séparément les consommations sur un même site et de formuler un diagnostic différencié par type d’usage. De ce fait, le suivi de consommation ainsi que l’identification des anomalies, par enregistrement des données peuvent être établis. La réglementation en vigueur en Tunisie stipule que chaque local doit être desservi individuellement par un branchement et donc par un compteur. Dans certains immeubles les consommations sont enregistrées par un compteur général, ce mode de gestion ne permet pas aux utilisateurs de l’eau de prendre connaissance de leurs consommations réelles, et par conséquent d’adopter des comportements plus économes en matière d’utilisation de l’eau. De plus, les fuites constatées sur les équipements sanitaires et sur les installations passent par des parties communes ne sont pas réparées avec la diligence nécessaire. En Tunisie, cette opération est encouragée par la SONEDE en offrant la possibilité de paiements du coût d’installation des compteurs individuels sur plusieurs tranches trimestrielles s’étalant sur 8 ans au maximum. Le comptage individuel est un moyen très efficace pour lutter contre le gaspillage, en responsabilisant les occupants de chaque logement. Une analyse faite sur des échantillons choisis dans les villes de Tunis, Bizerte et Jendouba a montré une nette régression des consommations totales par immeuble suite à l’installation de compteurs individuels. La baisse de la consommation enregistrée varie de 32% à Tunis à 40% à Bizerte et Jendouba. Source: challenge commercial.

Il y a quelques jours, je me suis vu offrir la possibilité de concrétiser un incroyable rêve de gosse : nager avec des dauphins à Agadir. Une aventure délirante, et que je ne suis pas près d’oublier ! Mais j’ai plutôt envie de présenter ici ce que j’ai appris sur les dauphins, et de source sûre, puisque j’ai appris tout cela de la bouche même de l’organisatrice. Le dauphin est, comme on le sait, l’un des animaux préférés des petites filles. Comment pourrait-on, après tout, ne pas être fan de ce gros poisson qui sourit jusqu’aux oreilles, est très sociable, et aime faire des cabrioles ? Impossible de résister à tel charme, à un tel cabotineur ! Mais en vrai, la réalité se révèle être loin, très loin de cette image d’Epinal. Ils ont certes l’air innocents, quand leur petite tête émerge de l’eau. Mais dès lors qu’on entre dans leur élément, on constate déjà qu’ils sont bien plus que ça : ils sont plus grands, plus gros, et bien plus puissants qu’un homme. Beaucoup plus. Je me suis pris un coup de nageoire pendant que je nageais avec eux et je peux vous dire que ça m’a fait un sacré bleu ! Et là, ce n’était qu’un coup donné par erreur. Il faut aussi savoir que le dauphin est loin d’avoir un comportement pacifique, comme on le pense trop souvent. Les dauphins peuvent en fait devenir extrêmement agressifs. La guide m’a d’ailleurs confié qu’il faut éviter de nager avec eux quand ils étaient en chaleur : c’est tout simplement trop périlleux ! Elle m’a notamment dit que les dauphins ont l’honneur d’être, avec les hommes, les seuls animaux à exercer… le viol en bande organisée ! Des groupes de dauphins mâles s’associent en effet souvent pour « braconner » en groupe, enlever une femelle parfois pendant plus d’un mois et copuler avec elle les uns après les autres ! Il est probable que si vous aviez su cela étant enfant, vous n’auriez pas regardé Flipper de la même façon ! Mais, malgré cela, je continue à être remué quand je repense à ce moment ahurissant où je me suis retrouvé à nager avec eux à Agadir. Les dauphins sont sans doute violents, mais ils n’en restent pas moins charmants ! Si cela vous intéresse, je vous laisse le lien pour en savoir plus sur cette expérience de nage avec les dauphins.